Fauve Hautot : De l'Enfance à la Scène, un Parcours Éblouissant
Révélée au grand public dans « Danse avec les stars », Fauve Hautot refuse de se limiter à la danse. Connue pour ses victoires sur le parquet de « Danse avec les stars », Fauve Hautot nourrit depuis l’enfance une autre passion : le cinéma.
Une Passion Précoce pour la Scène
Quand j’étais enfant, je dansais et je jouais, grâce à mes grands-parents qui organisaient des petits spectacles. Et puis en grandissant, je me suis focalisée sur la danse. Attendue pour l’inauguration du bowling de Dieppe, Fauve Hautot, la jolie danseuse de Danse avec les stars, revient sur ses souvenirs d'enfance passés dans le pays de Caux. Née à Dieppe, Fauve Hautot a commencé la danse à Fécamp.
« Mes parents faisaient de la danse de salon en amateurs. Et Fauve Hautot s’est prise au jeu en dansant d’abord avec son frère puis en se lançant dans la compétition : « Je n’ai jamais arrêté de danser » assure la jeune femme.
Fauve Hautot a commencé à Fécamp dans le centre de danse de modern jazz tenu par Carole Courage. « Il n’existe plus aujourd’hui » précise la danseuse. Puis elle se forme aux danses de salon à Elbeuf avant de se perfectionner à Lyon.
Une formation qui porte ses fruits : à partir de 2001, Fauve Hautot commence à se faire remarquer en compétition : elle est sacrée championne de France junior en danses latines, vice-championne en danses standards et 3e en dix danses avec Nicolas Pouget. Puis elle représente la France aux championnats du monde.
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Encore junior, elle danse durant un an chez les adultes avec Grégory Guichard. Le couple décroche la 3e place aux championnats de France dix danses.
Les Débuts à la Télévision et l'Ascension
Est arrivée « Saturday Night Fever », où j’ai obtenu le rôle de Stéphanie et où j’ai dû travailler le texte.
À 16-17 ans, je faisais déjà des petits shows. J’ai aujourd’hui la chance de vivre de ma passion et j’en remercie chaque jour ma bonne étoile ».
En effet, après cette victoire télévisée, Fauve Hautot et Maxime Dereymez se produisent dans différents shows télés et font partie de la troupe du chanteur Dany Brillant. Début 2011, Fauve Hautot intègre le groupe des danseurs professionnels sélectionnés pour participer à l’émission de TF1, Danse avec les stars.
« Danse avec les stars » : Un Tournant Décisif
Danseuse, chorégraphe et coach, elle travaille avec Jean-Marie Bigard, Baptiste Giabiconi puis Emmanuel Moire avec qui elle remporte la grande finale de la saison 3 :« Tout a changé avec Danse avec les stars, reconnait Fauve Hautot. L’émission passe le samedi soir en prime-time et est vue par 6 millions de personnes.
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« C’est dix ans de boulot d’un coup et beaucoup de stress, précise la danseuse. Quatre jours, c’est très court pour apprendre à quelqu’un vierge de danse. Forte de cette expérience qu’elle espère reconduire pour la saison à venir, elle l’assure : « Après Danse avec les stars, j’ai l’impression que je peux tout faire ».
Depuis l’année 2011 et sa première participation à Danse avec les stars, Fauve Hautot a parcouru bien du chemin. C’est en 2011 que la France découvre Fauve Hautot, alors danseuse sur le parquet du mythique studio 217 pour les besoins d'une émission devenue incontournable, Danse avec les stars.
Depuis, la chorégraphe de 38 ans est devenue jurée de l'émission de TF1. Sa crinière rousse et son énergie : recrutée par TF1 pour rejoindre les rangs de Danse avec les stars, Fauve Hautot s'impose rapidement. S'ensuivront trois autres victoires : en 2019, avec le sportif Sami El Gueddari, en 2021 avec le chanteur Tayc - avec qui naitront de fausses rumeurs de couple et d'amourette - et en 2022 avec le chanteur américain Billy Crawford.
Comme lors de la saison 13 de Danse avec les Stars, la danseuse de 38 ans éblouit les téléspectateurs à sa place de jury. Figure emblématique de Danse avec les stars, la danseuse et chorégraphe Fauve Hautot a connu une notoriété qui n’a pas toujours eu que des bons côtés… Celle qui est devenue juge dans l’émission s’est confiée dans 50 Inside ce samedi 23 août à propos des critiques injustes qui l’ont profondément marquée.
Son Prénom et Son Identité
Le 3 mars 1986, la petite Fauve voit le jour à Dieppe, en Normandie. Son père est comptable et sa mère professeure de danse. La famille Hautot choisit de baptiser le bébé Fauve en référence à un personnage de télévision. Un prénom atypique qui surprend. Pourquoi un tel choix ? C'est après avoir visionné la série américaine L'amour en héritage, sortie en 1984, dans laquelle un jeune personnage se prénommé Fauve, que l'idée vient à son père. "Mon père s'est dit que je m'appellerais comme ça, avait-elle expliqué à Télé 7 Jours.
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Un prénom qui sera un poids dans l'enfance de Fauve Hautot. Baptisée Fauve par ses parents en hommage à une série des années 1980, L'amour en héritage, elle a souvent été moquée pour ce prénom. "Mon père s'est dit que je m'appellerais comme ça. Donc merci papa.
À la fois flamboyante et sensuelle, Fauve Hautot porte bien son prénom. Avec sa chevelure de feu, son énergie débordante et ses époustouflantes prestations, Fauve Hautot s’est imposée comme l’une des danseuses préférées de Danse avec les stars . Flamboyante sur le parquet du Studio 2017, la jeune femme de 35 ans l’est tout autant par son prénom. Celle qui tentera de décrocher son ticket pour la demi-finale au bras de Tayc, ce vendredi 12 novembre, porte décidément bien son nom.
Contrairement à ce que pouvaient penser de nombreux téléspectateurs, son prénom n’est pas son nom de scène. Dans une interview accordée à nos confrères de Journal de France, en décembre 2016, la chérie de Jules Renault a révélé l’origine de son prénom. Fascinés par la mini-série américaine L’amour en héritage, diffusée dans les années 1980, ses parents ont suivi les aventures d’une jeune fille prénommée Fauve. Marqué par ce personnage, le père de la chorégraphe a ainsi trouvé le nom de sa fille. "Mon père s’est dit que je m’appellerais comme ça.
Si son prénom est en parfaite adéquation avec sa personnalité, cela n'a pas toujours été le cas. Au cours de son enfance, Fauve Hautot était une jeune fille très discrète et réservée. "J’étais très timide étant petite et je ne parlais pas beaucoup, a-t-elle avoué.
L'Évolution Capillaire de Fauve Hautot
Et non, Fauve Hautot n'est pas une rousse naturelle. Car comme le prouvent des photos de son enfance publiées par Télé Star, la juge de Danse avec les stars arborait dans sa jeunesse une jolie chevelure châtain claire qui la rendait très différente d'aujourd'hui. Reste qu'en se penchant sur les clichés on reconnait la danseuse professionnelle. Même grand sourire, même yeux rieurs, pas de doute, Fauve Hautot était déjà très jolie.
En regardant ces photos on remarque que Fauve Hautot a bien changé depuis son enfance. Notamment d'un point de vue capillaire. En effet, c'est une Fauve Hautot brune et avec les cheveux longs que l'on retrouve sur ces clichés.
Sur l'une des photos, datant elle de l'adolescence, on la découvre lors d'une compétition de danse. Très sûre d'elle, la jeune Fauve se dirigeait vers une très belle carrière avec notamment un titre de championne de France junior de Danses Latines en 2001.
Nouveaux Horizons : Actrice et Plus Encore
En août dernier, l’ancienne jurée était à l’affiche du téléfilm Meurtres en Berry diffusé sur France 3. Des débuts d’actrices sur lesquels la danseuse professionnelle était revenue dans les colonnes du Parisien. "Au début, je n’osais pas", confiait-elle. Désormais, elle se sent "plus confiante et légitime" d'évoluer dans le milieu du 7e art.
Après plusieurs apparitions dans des séries et une formation poussée au jeu, la chorégraphe revient aujourd’hui sur nos écrans dans le thriller psychologique « Rien ne t’efface ». Une nouvelle série TF1 dans laquelle elle prête ses traits à une assistante sociale prénommée Sabine, à retrouver dès ce 25 août. Figure emblématique de Danse avec les stars, Fauve Hautot revient sur le petit écran en tant que comédienne dans Rien ne t’efface, dont le lancement sur TF1 est prévu pour le 25 août prochain.
La pression je ne me la mets pas pour être reconnue, en revanche je me mets une pression pour le respect de l’art. Quand j’y vais, j’arrive toujours avec quelque chose de travaillé, jamais en dilettante. J’ai la même méthode de travail, mais l’acting convoque autre chose. La danse, je crée mes chorégraphies ; là, je rentre dans la peau d’une autre personne. Donc il y a quelque chose de plus intime à aller piocher. Ce sont deux manières de travailler différentes, mais qui sont toutes les deux régies par la même rigueur.
Votre corps est votre outil en danse, comme en comédie. Oui, bien sûr. En fonction du personnage, il faut voir ce qui est bon pour lui, quelles sont ses caractéristiques, sa corporalité… Mais je trouve ça fascinant, les transformations. J’aime bien justement le fait que ton « toi » soit gommé. Ici, vous incarnez Sabine, une assistante sociale assez insouciante et drôle.
Ce qui m’a plu déjà, c’est le masque social qu’on peut avoir. C’est-à-dire que c’est une femme drôle, curieuse, hyper boute-en-train… Et a contrario on ne sait pas ce qu’il se passe chez elle, quelles sont ses peurs. Oui je pense, dans cette empathie et ce côté énergie. Mais le reste non.
Alors, il faut savoir qu’avec Bruno Debrandt on est extrêmement différents. On a deux manières de jouer totalement opposées et sur le plateau c’était un peu chien-chat. Certaines scènes sont assez intimes. Sabine est très enfantine et très gauche, et le personnage de Bruno aussi et donc on se retrouve avec deux personnes gauches qui se font un piou [un bisou]. Il y a vraiment cette grande pudeur et donc c’était assez marrant à jouer, parce que très loin de nous. J’avais l’impression d’avoir un truc enfantin de collège. Et comme moi j’ai un rapport au corps très fluide, ce n’était pas dérangeant.
Dans le « Showgirls » de Verhoeven parce que ça danse et parce que c’est rock. Et surtout parce que c’est un des premiers films où j’ai pris une claque. S’il peut y avoir un mix de plein de choses, c’est cool. J’aimerais aussi avoir un truc à envoyer dans le corps, plus physique. Avoir une urgence dans le corps. Explorer toutes les émotions, comme dans une vie. Avoir ce feu intérieur.
Il y en a plein. Mais je dirais Emmanuelle Bercot, je la trouve dingue. Je la trouve supranaturelle et en même temps tellement intense. C’est le genre de chemin de vie qui me fascine parce que je trouve qu’ils sont très assumés, brillants.
Les Projets Futurs et la Vision de la Danse
Je ne sais pas encore, mais on ne me reverra jamais en tant que danseuse. La danse, j’ai envie de l’amener ailleurs : en création, dans des théâtres, dans des films. En tant que danseuse dans DALS, j’en ai fait le tour.
J'ai 36 ans et vais me tourner vers la création, a-t-elle confié à Télé Star. Depuis douze saisons, je vis des moments incroyables. Mais à terme, j'aurai d'autres projets.