Sophie Mourousi : Enfance, Carrière et Héritage Familial
Depuis le décès d'Yves Mourousi, en 1998, sa fille, Sophie, se fait discrète. Le regretté journaliste Yves Mourousi a laissé derrière lui non seulement les téléspectateurs et sa grande carrière, mais aussi sa fille unique, Sophie Mourousi. Connue comme comédienne et metteuse en scène, Sophie Mourousi a également présenté une série de reportages sur les 60 ans de la télévision, en mai 2016, sur la chaîne Paris Première.
Une Enfance Marquée par la Célébrité et le Deuil
La jeune femme, désormais âgée de 34 ans, très discrète sur sa vie, s'est toutefois confiée sur son enfance difficile. Orpheline à douze ans (sa mère, Véronique Audemard d'Alençon est décédée lorsqu'elle avait six ans), Sophie Mourousi a pu compter sur le soutien des nombreux amis de ses parents. AnnoncesNon Stop People a révélé les confidences de la jeune femme sur son enfance, qui était loin d'être facile.
Contrairement à son père, qui a été très médiatisé, la comédienne a préféré vivre sa vie loin des projecteurs. En effet, le père de Sophie a été une personnalité connue dans le monde des médias. Souvent mise en avant à la télévision de son vivant, sa notoriété a pourtant eu un impact sur la vie de la metteuse en scène pendant son enfance.
"Être mitraillée sur les tapis rouges, ça me foutait trop la honte ! (...) Je n’avais pas conscience de sa notoriété. Je l’ai eu tardivement, vers 11 ans", assure-t-elle. Une célébrité d'autant plus difficile à accepter qu'elle ne la comprenait pas. "Je n’avais pas conscience de sa notoriété. Je l’ai eu tardivement, vers 11 ans.
J’étais alors dans ma période Leonardo DiCaprio après avoir vu Titanic quatre fois au cinéma. Mon père aimait bien dire qu’il était célèbre. “OK, mais papa, tu es aussi connu que Leo DiCaprio ?", lui ai-je demandé.
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Le Soutien Familial et l'Importance des Amis
Après la mort de son père, Sophie Mourousi a pu compter sur un entourage aimant. "Après la mort de mon père, j’ai vécu chez des amis qui sont devenus ma famille, à côté de Bussy-Saint-Georges, en Seine-et-Marne", confiait celle qui est restée très proche de la coprésentatrice du JT, Marie-Laure Augry, sa "marraine de cœur", et de conclure, "J'ai eu la chance d'être très bien entourée".
Comme elle l'a raconté dans une interview à Télé-Loisirs, après la disparition de son père, celle-ci a vécu avec Marie-Laure Augry, sa "marraine de cœur".
"Après la mort de mon père, j’ai vécu chez des amis qui sont devenus ma famille, à côté de Bussy-Saint-Georges, en Seine-et-Marne. (...) J'ai eu la chance d'être très bien entourée”.
Carrière et Choix de Vie
Et si elle n'a pas suivi les traces de son cher papa, en devenant journaliste, elle a néanmoins hérité de certains de ses bons caractères. Ce mercredi 11 mai à 20h45, Paris Première lance une série documentaire intitulée 60 ans de télé, dont le premier volet est consacré sur l'impertinence à la télé.
Le temps de deux pastilles humoristiques, Sophie Mourousi, 29 ans, fille du cultissime Yves Mourousi, y fait ses grands débuts sur le petit écran. Ce qui me branche plutôt, c'est de créer des personnages loufoques, décalés. Comme ici.
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Anaïs Bouton, directrice des programmes de Paris Première, est venue me chercher. Elle connaissait mon parcours de comédienne mais, surtout, ça la faisait marrer d'associer des émissions rétrospectives sur la télé à un nom comme le mien : Mourousi !
L'Héritage d'Yves Mourousi
Votre père, Yves Mourousi, était un impertinent, non ? Oui, dans la mesure où il s’adressait aux gens de la même manière quels qu’ils soient.
Cash, il parlait de la même façon à un Premier ministre et à un maçon. Par ailleurs, il était capable d'inventer des situations folles, donc dangereuses pour sa carrière. Il aurait pu se faire virer 26 fois !
Ce que j’ai vu de lui, c'était après coup car j’étais trop petite quand il présentait le JT. Je n’avais pas conscience de sa notoriété. Je l’ai eu tardivement, vers 11 ans.
J’étais alors dans ma période Leonardo DiCaprio après avoir vu Titanic quatre fois au cinéma. Mon père aimait bien dire qu’il était célèbre. “OK, mais papa, tu es aussi connu que Leo DiCaprio ? », lui ai-je demandé. Il m’a répondu : “A peu près pareil”.
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On le présente souvent comme un homme double, avec un côté noir. Alors que c’était quelqu’un d'entier, mais jamais changeant. Et puis, le documentaire laissait entendre qu’après la présentation du JT (il l'a quitté en 1988, ndlr), ce fut la descente aux enfers.
Tout sa vie ne s’est pas construite autour de la présentation du JT, il n’en faisait pas une finalité absolue. Il a toujours gardé son enthousiasme. Même à la fin, il s’occupait des festivités de l’an 2000 - que malheureusement, il n’a pas pu voir -, il débordait d’énergie et d’envie. Je ne l’ai pas vu baisser les bras ou devenir aigre.
Oui, très proche, c’est ma marraine de cœur. Mais ma vraie marraine c’est… Mireille Mathieu. Encore une lubie de mon père !